Harvest moon : un Monde à Cultiver tente de gagner des points dans le cœur des joueurs, leur adhésion étant en chute libre depuis plusieurs années. Pari réussi ?
Créée et disponible en 1996 au Japon (et bien summation tard en Europe), la série Harvest moon a su tirer boy épingle du jeu dans les années 2000. En combinant fifty’agriculture, l’élevage et les relations humaines dans une aventure pleine de bons sentiments, la recette avait fait mouche auprès d’une pléthore de joueurs. Depuis 2014, l’éditeur Marvelous a décidé de créer sa propre partition américaine, nommée XSEED Games. Cependant, Natsume a conservé les droits pour le titre Harvest moon, forçant XSEED Games à changer le titre pour Story of Seasons. En parallèle, Natsume a développé ses propres jeux Harvest Moon, dont la qualité sec’est dégradée au fil des années. Ce nouvel épisode get in t-il a redorer le blason de la saga ?
Harvest Moon, une civilization toujours foisonnante…
Dans la peau d’un personnage créé préalablement, tu es excessivement pris par la master dès le début du titre, enchaînant les petites missions peu passionnantes mais faisant offices de tutoriel. L’obtention de ta propre ferme va pimenter davantage tes journées, notamment grâce à la gestion de tes cultures, de tes animaux, la récolte de graines (données par des « feu follets » ressemblant à des lutins) et l’amélioration des liens avec les autres personnages.
Plus tu avanceras dans 50’histoire, plus tu débloqueras de nouvelles activités / améliorations possibles pour tes outils de bon fermier / lieux à visiter.
Approche intéressante, cohérente et réaliste, il est of import de prendre en compte la variété des biomes présents en jeu. En fonction de la variété d’une graine et de 50’endroit où tu la plantes, sa qualité variera, passant d’excellente à inutilisable (donc bonne à jeter).
Concernant la prise en master d’Harvest Moon : Un Monde à Cultiver, on ne va pas passer par quatre chemins : c’est basique et en même temps très confus. Il y a peu de boutons à utiliser mais beaucoup d’actions différentes à effectuer avec la même touche. Par exemple, pour t’occuper d’un mouton, tu dois d’abord appuyer sur le bouton activity pour le caresser, puis sur le même pour le brosser et une dernière fois pour lui tailler la laine. C’est franchement dommage, d’autant summation que la prise en chief du personnage se révèle plutôt fluide et assez efficace dans l’ensemble.
Une bonne plantation de problèmes en tous genres
Harvest Moon : Un Monde à Cultiver est graphiquement moche. Cela aurait pu passer sur 3DS (et encore) mais c’est inadmissible sur Nintendo Switch. Comment peut-on passer de Mario Odyssey, d’un Zelda : Breath of the Wild, à ça ? Le pire, c’est que le titre se paie même le luxe d’avoir des ralentissements assez courants, voire des freezes de temps en temps. OK, les temps de chargement ont été revus à la baisse… mais à quel prix ?
La bande sonore sec’avère du même acabit. Si les morceaux musicaux font sourire les premières heures de jeu, ils deviennent très rapidement redondants et pénibles. On s’est même surpris à baisser (voire à couper) le son pour éviter tout pétage de plombs. Encore une fois, le pire reste à venir : il est assez courant d’entendre le son se saccader, rendant fifty’expérience très désagréable.
Pour finir,
- l’ergonomie des menus ne rehausse clairement pas le niveau. On second’emmêle très vite les pinceaux et on perd un temps fou à ranger ses affaires.
- La téléportation, qui pallie la lenteur handicapante du personnage, est un ajout bienvenu mais se révèle assez fouillie.
- Il n’est pas rare d’appuyer sur la mauvaise touche et d’effectuer une activeness non désirée, en voulant aller summation vite.
D’autant plus que la journée, elle, ne perd pas son temps et défile à tout allure. Il est regrettable de constater que ces défauts font tache alors que fifty’aventure, en elle-même, est plutôt agréable dans 50’ensemble.